samedi 12 mai 2018

Atlantis : les fils du rayon d'or - Pierre Bordage


Titre : Atlantis : les fils du rayon d’or
Auteur : Pierre Bordage
Année d’édition : 2015
Edition : J’ai Lu
Nombre de pages : 377
Genre : Science-Fiction


4ème de couverture :
Taïga sibérienne, quelques milliers d'années avant notre ère... Voici l'histoire de Tcholko, le guerrier tunguz, qu'une chasse à l'ours entraîne hors du territoire de son clan. Sur les rives du lac Bahikal, il découvre une femme étrange à la peau de givre et aux cheveux de feu, qu'il prend d'abord pour une magicienne égarée parmi les mortels. Arthéa, l'étrangère, l'invite à l'escorter pour un long périple au travers des steppes. Mais qui est-elle exactement ? Et quel est le mystère de son peuple ? Qu'y a-t-il au-delà des glaces éternelles du septentrion ? Depuis toujours la chamane du clan de la Laie avait prévu le voyage de Tcholko vers une île entourée d'un immense lac salé, vers un monde empli de merveilles et de dangers... Atlantis.








Mon avis :

Tout d’abord, je dois préciser que je n’ai pas réellement choisi ce livre. Comme indiqué sur la couverture, il s’agissait d’un livre offert par les éditions J’ai Lu. Cependant, le thème abordé me plaisait bien donc je me suis laissée tenter.

J’ai bien aimé ce roman et j’ai surtout été agréablement surprise par ma lecture. Je m’attendais à un roman très science-fiction et, en vérité, ce n’était pas aussi poussé que je le pensais. J’ai bien aimé l’atmosphère « jeu vidéo » de ce roman, avec l’avancée progressive des personnages vers leur objectif. J’ai également bien apprécié l’évolution des mentalités de Tcholko et d’Arthéa au contact d’une culture opposée à la leur. Enfin, la manière de raconter l’histoire m’a bien plu. Le fait que ce soit un grand-père qui raconte cette légende du clan à son petit-fils entraîne un échange entre les deux, des questionnements de la part du petit garçon et c’est vraiment quelque chose que j’apprécie dans cette façon de raconter.

J’ai cependant deux points qui m‘ont un peu dérangés pendant ma lecture.

Tout d’abord, il y a le fait que l’auteur ne fait pas beaucoup de description. Habituellement, je n’aime pas quand il y en a trop mais là, je dois dire que Pierre Bordage se satisfait du minimum. Les paysages décrits, tout comme Atlantis, semblent magnifiques et j’aurais vraiment aimé qu’on nous les décrivent un peu plus. Dans le même thème, j’ai trouvé que l’action débutait vraiment très (trop) tôt dans le récit sans que l’on ait fait connaissance avec le personnage de Tcholko, avec qui le récit commence et j’ai trouvé cela dommage.

Enfin, le dernier point qui m’a dérangé, c’est l’évolution de la relation entre Arthéa et Tcholko. On ne peut pas vraiment dire que leur relation commence sur de bonnes bases et je n’arrive pas à comprendre les sentiments d’Arthéa pour Tcholko au vu de ce qu’il se passe entre eux. Je trouve que l’évolution est beaucoup trop rapide, surtout avec les événements auxquels ils sont confrontés. 

Finalement, ce roman était donc une bonne surprise que j’ai bien aimé même si je reste un peu sur ma fin avec les descriptions minimalistes de l’auteur.

1 commentaire:

  1. Coucou!
    Premier passage pour moi sur ton blog! Je ne connaissais pas ce livre et j'ai bien envie de le lire maintenant^^

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